Commentaire de Henri Diacono alias Henri François
sur Les printemps arabes à la dérive


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  • Effectivement si on tient compte de la lecture du site en question, issu d’un journal arabe, on peut penser que l’Algérien a d’autres chats à fouetter, sans passer sous silence les effets d’un pouvoir autoritaire et en grande partie corrompu.
  • Et c’est là que se trouve « la verrue » qui gangrène tous les peuples arabophones : la corruption. Celle la même qui, pratiquée à grande échelle, de bas en haut de l’échelle sociale, empêche en grande partie les peuples de s’inventer une véritable démocratie. Celle ci, malgré ses imperfections, demeure le meilleur moyen de vivre en communauté.
  • Hélas il et encore loin le temps, après tant de siècles d’obscurantisme, où un tel mode de vie s’installera dans ces pays.

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