Bonjour Matthius,

vous dites : ’’On se rend compte que le simple consommateur ne décide pas de ce qu’il achète.’’

En effet : tout l’art du capitalisme est de nous amener à recourir de gré ou de force à sa production. Son action consiste autant à détruire ce qui est gratuit qu’à produire avec du capital ce qui est lucratif pour le capital.

Quand vous écrivez : ’’ si nous n’avons jamais connu autant de croissance démographique, reflétant une meilleure espérance de vie, ...’’

Vous êtes sûr de bien savoir ce qu’est la ’croissance démographique’ ? On n le dirait pas.

Question : au fond, tout ça que vous dites, est-ce que ce n’est pas pour faire l’apologie de l’énergie nucléaire ?

ps. Je suis en train de lire ’Fukushima, récit d’un désastre’, de Michaël Ferrier, publié en 2012, réédité cette année en poche. Je vous le conseille vivement.