Commentaire de Philippe VERGNES
sur La « novlangue » des psychopathes


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Philippe VERGNES 14 mai 2013 11:17

@ JL,

Encore un exemple de vos attaques typiquement perverses : extraire un message de son contexte et en appeler de plus à quelqu’un sur qui l’on peut écrire de telle chose :

« Mon pauvre Loup Rebel,

si vous étiez réellement psychanalyste, vous seriez la risée de toute la profession pour cette phrase, je vous cite : “Un vrai régal de voir le pervers narcissique mené par le bout du nez, sous l’emprise de sa propre perversion.

Vous ne savez décidément plus quoi inventer pour retrouver de la crédibilité ici. Premièrement, un troll n’est pas un pervers narcissique, et un pervers narcissique n’est pas un troll.

Deuxièmement, le troll et le PN ont en commun, par définitions, qu’il n’est impossible de les mener par le bout du nez.

Troisièmement, par définition encore, dans une relation d’emprise, celui qui manipule est le manipulateur. Dire le contraire, c’est comme si vous disiez que vous avez réussi à coller votre godasse sur une crotte, et qu’elle est bien emmerdée !

Si vous aviez reçu des patients un jour, avec un votre esprit à l’envers, c’est vous qui auriez dû les rémunérer ».

Alors, lorsque ça vous arrange : « il n’était pas corrompu » (Loup Rebel), mais lorsque cela ne vous arrange plus «  il serait la risée de toute la profession ».

Encore (et encore, et encore...) un exemple de paradoxe qui s’exprime dans ce cas là à un instant t+1 (changement de tactique : la véritable celle-là, pas celle que vous me fantasmez sans jamais la démontrer).

Mais poursuivez-donc mon brave JL, je vous sens au taquet là : vous donnez le meilleur de vous-même.


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