Ca va bien au-delà de la dictature financière. C’est une escroquerie planétaire très organisée.
La finance que nous attaquons sans relâche n’est même pas la responsable.
Elle n’est que l’outil mis en place pour une escroquerie planétaire organisée par une poignée de familles.
L’escroquerie a été avalisée par les politiciens de la loi de 1973, Pompidou et Giscard principalement. Mais tous les politiciens successifs depuis 1969, le départ de De Gaule, sont corrompus par cet esprit d’escroquerie du peuple. Aujourd’hui plus que toujours.
Le principe de l’escroquerie est simple.
L’activité économique est le vrai créateur de la monnaie. J’achète 40, je revends 100, le bénéfice de 60 est une pure création monétaire car il n’existait pas avant ; mais le billet manquant est imprimé par les escrocs qui s’accaparent cette création due au travail.
La FED via le réseau bancaire, de banques centrales, locale... imprime du papier et vole le fruit du travail mondial avec des photocopies.
Ils mettent ainsi, grâce à des photocopies, leurs noms sur tous les actes de propriétés de la planète, sur tous les biens, sur toutes les multinationales, sur toutes les concessions d’exploitations de ressources, sur tous les robinets...
De plus, par un système bien organisé, la création de monnaie apparaît comme une dette ! Incroyable !
Comme tout ce système considère la création monétaire comme une dette, ces gens volent deux fois de la valeurs de l’argent sans rien faire ; la première fois lors de la création monétaire, la seconde lors des remboursements de dettes.
Le principe tourne alors en boucle de façon exponentielle, jusqu’à l’effondrement obligatoire, car c’est pyramidal. Mais même quand tout s’effondra, se sera vos économies, ces escrocs auront bien encore tous les actes de propriétés à leurs noms.
La bonne justice voudraient quatre principes de base :
1) La création monétaire revient aux peuples, elle est un bien collectif.
2) L’annulation de la « Dette », toutes les dettes, est la seule mesure qui rend au peuple ce qui lui appartient de droit.
3) La confiscation de tous les biens et avoirs excessifs de toutes formes de sociétés : bancaires, financières, anonymes, personnelles, immobilières... pour une création d’un fond souverain collectif. C’est la seule façon de reprendre le fruit volé du travail.
4) Tribunal, et décisions populaires collectives de pendaisons et de guillotines pour les animateurs de ce système d’escroquerie organisée, et de leur descendance, depuis les années 60, voir même après-guerre. Inclus tous ceux qui ont vendu les biens souverains et collectifs à des sociétés non souveraines.