Commentaire de jno
sur Déambulations
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30) Doit-on souffler sur un
élève qui s’éteint ?
En ce jour saint du 25 Mai fête des mères,
ne pas souffler cette bougie même amère
en ces temps où Alois ne se rappelle plus
l’aile de Lucie, quand les vents prennent sans cri le dessus,
sous la surface au dessous de ces lignes qu’elle ne liera plus,
!
Maman,
Le vent tourne
Comme tournent les pages,
S’envolent avec lui les rêves et les images,
Comme s’envolent les pages du livre de ton visage.
Mam,
Le vent se cache et se terre à chacun de tes passages,
S’écrivent alors en silence les souvenirs d’un paysage,
comme j’écris cette page lovée du livre de ton visage.
Ma,
Et le vent si sage à chaque instant souffle les pages,
D’un livre en fin comme il souffle sur nos visages.
M,
D’abord rose aux pétales de l’éveil,
d’un papillon se métamorphose
l’avenue de l’eau fleur bleue,
où les nuages ont comme
un parfum de rose aux
pétales de l’éveil,
d’une rose
rouge
âtre.
!
ni..
En séjournant jusqu’à cette ligne je me dis,
qu’il me reste encore jusqu’au 26 de demain,
pour lui porter un soin de papier, de mots parapluies
pour l’abriter du mauve, étant qu’il fasse trembler ces mains.
Ne pas le dire ne pas le faire,
au sein même d’un exercice peu ordinaire,
danse et puis souris sans le fer,
seul le sceau assigné peut défaire,
peut délivrer la couleur nécessaire
pour délivrer du sort, non pas ma mère
mais les larmes ocreuses de l’amer.
Alors quand le dire est le faire
j’ai teint la lumière, et le fait
de le dire est ainsi plus clair.
Alors vous le dire pour lui dire, c’est fait.
La vie est un cycle erroné,
où je n’ai levé la main,
à peine souffler un brin
pour ici glisser sans fin,
que l’avis est ainsi claironné
en silence, envouté.
Bien à vous cher lecteur qui empruntez ce chemin,
de mon coeur à son coeur en passant par vos mains
L’avis est un si clos en ce seing,
que gisent nos coeurs sans n ni X
dans ce mot au grand choeur de Jno.
Bonne fêtes à toutes les mamans,
toutes ces Reines du pays des merveilles,
plus un mot d’amour est donné
plus la place au doute est laissé, en veille.
Jnove en love,
faite que des mers veillent sur elle.