Commentaire de olivier cabanel
sur Nucléaire, l'énergie du désespoir
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gaijin
ce qui, en fin de compte, signifierait que l’homme n’a rien à foutre de l’homme.
il accepte sa propre disparition, au simple fait qu’il reconnait une erreur qu’il ne peut réparer, et qu’il n’a d’autre solution à terme que de disparaitre.