Commentaire de NICOPOL
sur Affaire Méric : l'imposture idéologique de l'anti-fascisme


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NICOPOL NICOPOL 14 juin 2013 11:16

"et concernant au conservatisme affiché de l’auteur et sa proclamation ni gauche - ni droite haissant le extrèmes pour paraitre neutre ,objectif et au dessus des autres et de la mêlée,quelqu’un lui a déjà répondu qu’en fait celui qui dit dit qu’il n’est ni à gauche et ni à droite c’est qu’en fait il est de droite (ce n’est pas une tare ,mais il faut l’assumer)« 

Je refuse ce terrorisme intellectuel qui revient à dire »si tu n’es pas dans mon camp, tu es dans celui de mes ennemis« . Je ne suis ni révolutionnaire de gauche, ni révolutionnaire de droite, ni libéral, et ne me sens pas obligé de choisir un camp. Si vous ne comprenez, ou n’admettez, ou ne respectez pas ce choix, je ne vois pas ce que nous faisons à discuter ainsi.

 »j’ajoute qu’affirmer être conservateur dans l’état actuel de la société et du monde ,c’est à dire être pour le statu quo de ce monde tel qu’il est qui est dominé par le libéralisme au mauvais sens du terme« 

N’importe quoi. Cela veut dire AU CONTRAIRE juger de façon défavorable l’évolution de notre société occidentale depuis la première révolution libérale de 1789 et ses »héritières« de 1793, 1917 et 1933. Cela veut dire rejeter A LA FOIS ce libéralisme extrémiste que vous rejetez aussi, ET les 2 autres extrêmes qui prétendent le détruire, de gauche ou de droite. C’est sortir de cette grille de lecture binaire du monde qui ne voit que 2 »camps", pour les plus subtils 3, en oubliant le 4ième. C’est finalement être incomparable plus critique envers le libéralisme que le communisme, puisque le communisme accepte l’homme naturel du libéralisme en cherchant à le dépasser, quand le conservatisme nie radicalement l’homme naturel du libéralisme.


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