Commentaire de Onecinikiou
sur Mélenchon, seul véritable ennemi du « système »


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Onecinikiou 4 juillet 2013 00:14

« Il n’y avait aucune cigüe à boire : êtes vous donc mort empoisonné parce que j’ai voté Hollande en pinçant le nez au second tour, de quelque façon que ce soit à l’instar de Socrate ? Pas moi, ni personne. »

Non non, la situation se rétablie doucement, le chômage régresse, le pouvoir d’achat progresse, les français reprennent espoir, ils se sentent protégés des affres de la mondialisation, ils se sentent incarnés par le porcinet sudoripare, le flan, l’incapable, le nullissime, le médiocre ; ils sont tellement fiers de lui et de sa superbe prestance sur la scène internationale, tellement ravis aussi qu’il ait tenu ses promesses (il est vrai qu’il fallait être soi-même un brin crédule pour croire du contraire), ils n’ont absolument pas le sentiment d’être Gros-Jean comme devant, se s’être fait enfilé jusqu’au trognon ; d’ailleurs les pires statistiques publiées depuis le début de la Vème République concernant la popularité de l’exécutif - battant en cela l’immonde Sarközy - ne sont que le fruit de mon imaginaire fertile. 

D’ailleurs je suis sûr que vous croyez - comme vous l’avez cru il y a un an maintenant - que ses annonces sur la baisse du chômage sont crédibles ? Après tout, on prend goût au cocufiage je suppose...


« Et donc à quoi aurait-on été avancés ? A part maintenir le statu quo pendant 5 ans et permettre au bout de ce temps au PS de se présenter comme une alternative raisonnable ? » 

REFUSER la mascarade nom de dieu, voilà ce que la saine raison, l’intelligence et honnêteté politiques, l’éthique de responsabilité comme de conviction commandaient de faire. Mais vous ne comprenez rien à la politique, balloté de-ci de-là que vous êtes. Comme tant d’autres naïfs, qui finalement, sont aussi responsable de la situation calamiteuse dans laquelle nous nous trouvons. Nous payons le prix de vos inconséquences morales, politiques, doctrinales.


« Vous préférez peut-être mourir tout de suite. »

Si là est la synthèse que vous faites de mes réflexions, c’est que votre problème est plus grave encore que je ne le croyais.


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