Commentaire de jack mandon
sur Ballade en quête de liberté


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jack mandon jack mandon 27 juillet 2013 12:48

Alinea,

Pour moi la liberté est exactement ce que décrit Nietszche,

Je le conçois bien.

Le thème central porte sur ce sentiment de liberté.
Pour se faire, j’ai posé la métaphore de Moëbius,
qui porte en elle même le limité et l’illimité en vase clos.
Notre histoire humaine en somme.
J’ai argumenté autour du rêve et de la réalité et tous
les états de conscience qui évoluent entre ces deux extrémités
qui au fond se mêlent et se confondent.
J’ai évoqué la liberté selon le vénusien Paul Eluart, qui
scientifiquement peut être principalement rattaché au caractère
humain sensible, délicat et enveloppant de l’hystérique.
J’ai trouvé le contrepoids philosophique et psychologique
chez Nietzsche, le martial, percutant et guerrier,
de caractère obsessionnel.
Les deux visions sont complémentaires et conflictuelles.
Elles possèdent l’une et l’autre les profondes connotations
de la période adualique avec leurs univers antinomiques.

Je tente une explication, car, comme je le dis souvent,
c’est le travail d’échange, de questionnement et de partage,
qui donne le véritable intérêt à l’exercice.

On écrit, c’est souvent un besoin, mais les commentaires
constituent le ciment de l’ensemble.

A plus, comme dit mon fils.
 


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