Commentaire de cevennevive
sur Ballade en quête de liberté


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cevennevive cevennevive 28 juillet 2013 09:17

Bonjour Alinea,


Je suis confuse et rouge comme une pivoine... Merci pour cet ode à ma personne !

Bon, il faut tout de même que je précise : je déteste Proust et ses semblables, je déteste les gens qui tournent autour de leur nombril ou de leur mental comme le fait le ruban de Moebus. Ce faisant, ils ne s’occupent que de l’impalpable, de l’irréel, leur esprit part en spirales inutiles et vaines, comme les vapeurs d’encens (C’est bien pensé pour les vapeurs d’encens Alinea...).

Le rêve, la liberté dont parle Jack, oui, j’en sais le goût. Mais pour moi, le rêve, la liberté, c’est la mer, l’océan et les pays lointains. Ce sont les Causses en hiver parcourus par les corneilles et écrasés par plafond mouvant des nuages. C’est l’eau d’un torrent, la forêt mystérieuse, les chants d’oiseaux, etc.

Le rêve, la liberté, ce sont des choses palpables pour moi et non des concepts évanescents.

Petite fille, enfant unique et solitaire, j’ai conceptualisé mes rêves, mes émotions, mes plaisirs et mes peines (mon ascendant sagittaire peut-être ?)

C’est pourquoi je ne communie pas du tout avec les théories de Jack. Elles me font souffrir par leur manque de vivant, de mouvant, de palpable. Par exemple, pour moi, Icthus représente le poisson que la nature a créée en même temps que moi, et non le créateur.

Pfffiououou ! Que je suis péremptoire aujourd’hui ! Temps orageux, il ne veut pas pleuvoir et il fait moite comme dans une étuve. Me revoilà redescendue sur ma terre ferme, et j’aime cela par dessus tout.

Bonne journée à tous.

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