Commentaire de jack mandon
sur Ballade en quête de liberté
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Alinea,
Pour l’intuition, je n’en suis pas dépourvu, disons que le caractère
de chacun ne favorise pas une rencontre épistolaire.
J’ai donné à mon papier, volontairement, un chaos surréaliste,
mêlant un côté flottant, irrationnel, lunaire à l’intervention de deux
philosophes, Descartes et Nietzsche qui assurent un contrepoids
matérialiste. Le surréalisme mélange le rêve à la réalité,
l’historique au romanesque. De mon point de vue, ça fait réagir.
Je reconnais, dans un premier temps ça peut décourager.
Il est très important d’exister dans sa différence.
Bon Dimanche.