Millesime,
Il suffit de regarder quel est le fonds de pension qui détient 47% du capital de Marianne : CARLYLE.
Yves de Chaisemartin, Conseiller de Carlyle Europe depuis 2005, est directeur général de Marianne .

Wikipedia :

« Carlyle investit dans de nombreux domaines, comme l’aéronautique,la défense, l’automobile, les transports, l’énergie, les télécoms et les médias »« 

 »3e groupe d’investissement mondial derrière TPG Capital et Goldman Sachs.« 

 »Parmi ses dirigeants, de nombreuses personnalités se sont succédé, telles que George H W Bush ou Olivier Sarkozy.« 

 »En 2003, il achète à l’ Etat français les locaux de l’imprimerie nationale, démantelée, pour 85 millions d’euros. L’Etat lui rachète en 2007 pour en faire le nouveau Ministère des Affaires étrangères pour 376,5 millions d’euros, soit 4,5 fois le prix de départ après 120 millions d’euros de travaux« 

C’est là qu’on découvre que nos impôts servent à beaucoup de choses ...

et le bouquet final :

 » En 2008 est annoncée la faillite de la filiale de fonds d’investissement Carlyle Capital, à la suite de la crise des subprimes, ce qui n’aura pas d’impact mesurable. sur le Groupe.

En effet un système de cloisonnement des filiales permet de préserver l’intérêt des actionnaires en diluant le risque financier sur la collectivité.« 

Les banques refusent le cloisonnement, mais les fonds de pension comme Carlyle, la pratiquent.
Le poids économique d’un tel investisseur oriente forcément la ligne éditoriale.

Mais on ne peut comprendre à quoi servent ces fonds de pension qu’après avoir lu le livre » Les confessions d’un assassin financier« de John Perkins.

Quand les USA mettent le grappin sur un Etat, de préférence s’il dispose de ressources pétrolières, ou s’il représente un intérêt stratégique, comme le Canal de Panama, ils organisent des projets de développement économiques pharaoniques qui vont endetter à mort ces Etats.

Ces projets sont réalisés par des entreprises américaines et des fonds américains.

Quand ces pays sont étranglés par la dette, ils acceptent les conditions posées par les USA, les bases militaires, les votes à l’ ONU, l’exploitation de leurs ressources etc.

Le contrôle des médias occidentaux a donc pour objectif »que ça dure", et que les journalistes n’expliquent rien sur ce racket international.

Si leurs pratiques étaient honorables, et dans le sens de l’intérêt des peuples, ils n’auraient pas besoin de museler les médias.