arrêtez un peu avec votre désinformation umpienne Bulgroz. De 1, Hollande n’a jamais nié la crise (Voici quelques phrases issues du débat d’entre deux tours (vous savez, là où il a dit « moi je ») : "nous traversons une crise grave, dure, qui frappe notamment les plus modestes, les plus travailleurs, ceux qui sont les plus exposés« , »la crise est là, personne ne la conteste« , »Ce que vous avez fait, le vote du paquet fiscal qui a dégradé les comptes publics et puis après, la crise s’est rajoutée.« , »D’abord, la crise de la zone euro, ça fait maintenant près de 3 ans qu’elle est ouverte". Donc non, il n’a pas nié la crise,e t c’est vérifiable. Dés lors, cet « oublis » des umpistes est-il intentionnel ou pas ? Et lors de son premier discours en octobre 2011, juste après sa victoire aux primaire, disait-il déjà "Ce n’est pas notre projet qui coûte cher, c’est leur politique qui a épuisé le pays. La droite compte sur la crise pour se sauver. Moi je propose que les Français comptent sur la gauche pour les sauver de la crise"), contrairement à Sarkozy qui lui la niait tout le temps (rappelez vous son discours de mars 2012 : "La crise est terminée et la reprise économique est amorcée"). De 2, prétendre que la crise n’est plus maintenant qu’en France et donc que c’est seulement de la faute d’Hollande, c’est un peu oublier que les USA, que l’Europe, le Japon, [...] continuent d’être dans la crise. De 3, prétendre qu’il y a plus de création de chômage maintenant qu’avec Sarkozy c’est oublier un peu ce calcul : le pire semestre de Nicolas Sarkozy en matière de chômage est la période allant de novembre 2008 à avril 2009. Le nombre de demandeurs d’emploi augmentait en moyenne de 63.050 par mois (avec un pic à 77.300 en février 2009). tandis que le pire semestre sous François Hollande correspond à la période juin 2012 à décembre 2012, en moyenne 31.600 nouveaux demandeurs d’emploi s’inscrivaient chaque mois à Pôle Emploi.