Grave erreur historique. C’était il y a moins de trente ans.

Sous le socialisme, la plupart des tziganes étaient dans un statut peu éloigné du travail force dans les kolkhoze et sur les routes. Et avec des résultats. Hausse de l’alphabétisation, hausse de l’age au mariage.
Pareil en Russie avec les mêmes résultats et la meme regression. Les filles recommencent a sortir tot de l’école pour etre mariees de plus en plus jeunes avec tous les problèmes de retard éducatif futurs a prévoir pour leurs enfants. Et le problème se mord la queue car dans une population peu alphabétisée, très peu qualifiée, a forte natalité (on commence jeune), les enfants sont une source de revenu ce qui fait qu’on est réticent a les scolariser. Quand en plus c’est a l’étranger et dans une autre langue, une autre culture, d’autres règles du jeux, cela n’arrange rien.
En pratique, le seul qui ait pris le problème a bras le corps, c’est le président hongrois qui a recree des places de travail réservées, mais aussi dans une certaine mesure obligatoires.
Le travail est la principale base de toute intégration.
Mais voila, certains préfèrent que les gens en question restent a la rue et a la dérive, plutôt que de transiger avec leurs principes abstraits. Orban s’est fait traite de facho et de « rouvrir des camps de concentration. »
L’autre exemple positif, c’est la France. Sous l’influence du protestantisme évangélique les communautés françaises tziganes ont connue une émancipation culturelle sans équivalent dans le monde. C’est pas encore gagne, par exemple sur le plan économique. Les progrès sont considérables. Notamment en matière d’alphabétisation. Et dans le respect de la culture propre. Il est juste de dire, et on peut se référer en la matière au rapport de la commission des droits de l’homme, que c’est egalement lie a un très fort degré d’acceptation par les autres populations, a l’exception notable des administrations, qui s’avèrent en pratique les plus discriminantes parce qu’elles n’aiment pas les gens qui n’entrent pas dans leurs cases ( mais la, il n’y a pas que les tziganes qui en souffrent).

Qu’en conclure ? Les français sont parmi les peuple les moins racistes et les plus accueillant qui soient. Cela ne signifie pas qu’ils aient les moyens de résoudre les difficultés des dix millions de roms européens recenses par les spécialistes. Ni surtout qu’ils aient un devoir d’adherer a des politiques inadaptes d’acceuil qui sont couteuses et contre productives au nom de principes abstrait, politiciens et au final assez indifférents a la réalité des problèmes et des roms et de leurs voisins.

le problème, ce n’est ni la misère, ni les roms,mais bien la façon dont on aborde et traite ces questions et avec quels presupposes idéologiques. Avec des mesures qui donnent des résultats ou pas.