Commentaire de jack mandon
sur La Révolution française en musique


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jack mandon jack mandon 12 novembre 2013 10:43

Bonjour Fergus,

Excellent article qui nous rappelle la complexité et les paradoxes humains.
Ainsi nous avons depuis toujours l’heureuse idée de nous massacrer en chanson.
Mieux, avec le temps, nous produisons des poèmes, odes et opéras
pour mieux sanctifier l’événement. Le devoir de mémoire.
Au fond Eros et Thanatos d’essence sacrée président à l’amour et à la mort.
Il est naturel et culturel que ces dieux guident nos pas.
Il est donc normal qu’André Chénier simple supplicié pour les sans culottes
retrouve Apollon et Aphrodite dans l’univers de sa poésie
que Robespierre instigateur de la grande fête consacrée à l’être suprême
termine sa course auprès de Zeus ou Gaïa pour apaiser son esprit.
Heureusement qu’il existe l’espérance pour faire contrepoids à la mort.

Tout de même, j’en perd un peu la tête.


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