Commentaire de Agafia
sur Fukushima, le mois de tous les dangers
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bonsoir Olivier
et puis rappelons nous l’évacuation des blocs de graphite sur le toit du réacteur n°4 de Tchernobyl confiée à des robots, japonais d’ailleurs, et qui buggaient, devenaient incontrolables, tombaient en panne et se « suicidaient » en se jetant du toit.
Finalement ce sont les équipes de liquidateurs bien humains, flanqués de plaques de plomb, qui se relayaient, courant avec leur pelle parmi les blocs de déchets, jetant deux pelletées par dessus bord et repartant dare-dare à l’abri. Vingt secondes pas plus, afin d’être le moins exposé possible aux radiations monstrueuses.
Aujourd’hui, ceux qui ne sont pas encore morts se battent jour après jour contre la maladie.
Mais c’était bien le « manuel » qui restait le plus fiable.
Une pensée pour eux.
Mais « zéro mort !! » qu’il a dit votre copain taxi