Commentaire de L’enfoiré
sur Le langage sans bagage
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- Ah ! dit-il exaspéré, tu me casses les couilles. — (Jean-Paul Sartre, La mort dans l’âme, Gallimard, 1949, p. 152)
- Si nos vies sont aussi tristes, c’est à cause de la pluie qui toujours tombe, et de ce putain de vent du nord qui mouille et qui nous casse les couilles. — (Bernard Suisse, Motus et babouches cousues, Le Manuscrit, p. 218)