Commentaire de L’enfoiré
sur Le langage sans bagage


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

L'enfoiré L’enfoiré 27 novembre 2013 12:36
  • Ah ! dit-il exaspéré, tu me casses les couilles.  (Jean-Paul SartreLa mort dans l’âme, Gallimard, 1949, p. 152)
  • Si nos vies sont aussi tristes, c’est à cause de la pluie qui toujours tombe, et de ce putain de vent du nord qui mouille et qui nous casse les couilles.  (Bernard Suisse, Motus et babouches cousues, Le Manuscrit, p. 218)

Voir ce commentaire dans son contexte