Jouratous,

" cette industrie nocive qu’est le chalutage reçoit des subventions des États, et elle ne serait pas rentable sans celles-ci. «  j’aime le conditionnel, cela laisse croire que l’on ne sait rien de ce qui découle de cette pèche, épaves antiques et leur contenus, coffres pleins de trésors et tout ce que le radar détecte... Pour faire du bon vin, il faut le sélectionner à la source. Pareil pour le poisson à si tu pèche tous les vieux pneus en décomposition ou les futs d’hydroxyde de sodium ouverts, ça donne forcément un gout. Et comment vérifier s’il n’y a pas de transparence ?

 » La difficulté majeure, c’est qu’une partie importante des mers et des océans échappe à toute juridiction " on peut se demander pour quelle raison les multinationales échappent à l’impôt commun et à certaines lois semblables pour l’intérêt général. Et pourquoi la mondialisation des institutions ne prévoit pas de faire la transparence sur ces méthodes contestables. avec des lois antipirates. Les pires des pirates ne sont pas le pécheurs somaliens qui n’ont plus de poisson sur leur cotes mais ces pécheurs industriels mondiaux qui raflent tout.