je ne crois pas l’être.

je constate juste qu’une grande majorité d’êtres humains sont en déphasage complet avec la nature, la vie, les animaux, les plantes, qui les entourent.

on en viendrait à imaginer qu’ils ne sont pas « de cette planète »

comme si cette terre pouvait accepter toutes ces prédations inadmissibles...

comme si on pouvait raser une foret, convaincu qu’elle repousserait quelques secondes après...

cette inintelligence latente nous condamne a disparaitre.

la terre s’en remettra.

nous ? pas sur.