Commentaire de cevennevive
sur Laissez-nous la fiction, les filles et les garçons
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Magnifique votre texte Zang, et c’est une dame qui vous le dit !
Où sera la poésie de ce mystère insondable et attirant qui nous faisait regarder avec perplexité les amours des oiseaux, des insectes et de nos animaux familiers, lorsque nous avions 9 ou 10 ans, autrefois ?
Où iront nos questions intimes, nos rires idiots à la moindre plaisanterie des adultes, au moindre frôlement d’une main sur une jupe ?
Et les ventres rebondis des dames, poussant en avant cette promesse de vie dont nous savions intimement l’origine ? Pourrons-nous imaginer que ce soit le résultat d’un horrible traficotage de cellules dans un laboratoire ?