Commentaire de psynom
sur T'es mal barré frère P'tit blanc ! Et nous aussi !


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psynom 11 mars 2014 12:39

D.Benchenouf, continuez de m’appeler « mon p’tit frère blanc » et de me tutoyer, continuez votre mépris et votre haine... Ma peau blanche n’a pas rougie.

Mon p’tit cœur envahi par son prêt-à-penser et son prêt-à-haïr de p’tit blanc végétant dans son indicible mélasse, lui, a sa conscience pour lui. Il est même capable de s’émouvoir, et de se sentir concerné par ce qui ne se passe même pas chez lui, et de le dénoncer.

Pays du Maghreb, Algérie : terrible sort des enfant nés sous X (quand on ne les laisse pas mourir à la clinique en cessant de les alimenter à 1 mois) laissés à leur propre sort, dans la rue, les ateliers, exploitations agricoles...

Cette enfance sacrifiée n’a pas de visage, pas de nom, bref pas de statut, elle se voit d’office exclue de toute scolarité, ... exploités sexuellement...

Le président de la Forem survolera aussi d’autres problèmes auxquels les enfants sont confrontés comme la drogue, la délinquance, la violence sexuelle pour les enfants livrés à la rue. Le Pr Khiati n’a pas de chiffre, mais il suppose que la maltraitance sexuelle touche environ 50.000 enfants par an ...

Terrible sort des immigrés au Maghreb

L’immigration clandestine en Algérie : http://www.algerie-dz.com/article656.html

« Nous mourons et personne ne se soucie de nous. La misère touche encore notre pays et personne ne bouge le petit doigt pour faire quelque chose pour nous », raconte cet Ivoirien... »
« Le calvaire des femmes. Nombreuses sont celles qui sont tombées entre les mains de passeurs. Commence alors le long calvaire qui se termine le plus souvent par une mort survenant dans des conditions atroces. »

Immigrés Sud-Sahariens pouvant être carrément repoussés dans le Sahara, les laissant littéralement dessécher dans le désert (il y a de terribles vidéos sur YouTube)
 P’tits noirs victimes du p’tit blanc.

Sans parler du sort avilissant des femmes... mariages forcés pour les gamines, etc... qui lui est connu.

Si cela se passait chez moi, je briserais tous les tabous, le crierais pour ne pas me sentir complice donc coupable. Ne me lamenter que sur mon sort, mon SILENCE rejetant les fautes sur les p’tits autres, seraient ma honte.


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