Commentaire de doctorix
sur La particule de Dieu


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doctorix, complotiste doctorix 20 mars 2014 21:07

Votre article me rappelle « la formule de Dieu », le livre de José Rodriguez Dos Santos sur lequel j’avais tenté de publier un article, refusé. Mais livre à lire absolument.

Ce livre passionnant évoque les invraisemblables hasards qui ont conduit à la naissance de la vie. Par exemple, le carbone :

« Pour diverses raisons, le carbone est l’élément sur lequel repose la vie. Sans lui, l’élaboration de la vie spontanée est impossible, étant donné que seul cet élément est suffisemment flexible pour former les longues et complexes chaînes nécessaires aux processus vitaux. Aucun autre élément ne paut le faire.Le problème, c’est que la formation du carbone n’est possible que par un concours de circonstances extraordinaires..

Pour former le carbone, il faut que le beryl radioactif absorbe un noyau d’hélium. Cela semble simple. Le problème est que le temps de vie du beryl radioactif se réduit à une insignifiante fraction de seconde :

0.0000000000000001 seconde (il y a 15 zéros après la virgule).

Et pourtant, c’est au cours de cet instant infiniment court que le noyau du beryl radioactif doit localiser, heurter et absorber un noyau d’hélium, créant ainsi le carbone. Mais pour celà, il faut que les énergies des noyaux soient exactement identiques au moment de leurr collision.

Or, elles le sont, précisément.

S’il y avait la moindre différence, même la plus infime, le carbone n’aurait jamais pu se former.

Mais il n’ y a aucune différence. »


Le livre exposait sept ou huit de ces coïncidences invraisemblables, par exemple la probabilité pour que l’univers ne se soit pas répandu vers l’infini, ou aucontraire rétracté en un big crash.

« Il s’en fallait d’une fraction d’énergie, en plus ou en moins, lors du big bang.

Un chiffrage de cette fraction ?

Un pour dix à la puissance cent-vingt.

Oui, 0,00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 00000000000000000000000000000000000000000000000000001. »

Selon moi, quand il ya trop de hasards, il n’y a plus de hasard. Pas facile à avaler pour un scientifique (ou supposé tel) comme moi, mais pourtant incontounable.


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