Commentaire de César Castique
sur Mons, capitale européenne de la culture 2015, également zone de non-droit ?
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« Qu’appelle-t-on « des immigrés » précisément ? »
Ceux qui ont des têtes d’immigrés. Indépendamment de leur nationalité.
« Et c’est là que je pose la question : est-ce l’immigration le problème ? »
Non, c’est la perception, notamment quantitative, de l’immigration puisque vient un moment où la quantité est vécue par les indigènes comme une atteinte à leur territorialité. A l’époque de Mitterrand, on parlait d’un seuil de tolérance de 10-12 %.
« On n’est pas plus ou moins délinquant selon qu’on vient d’un pays ou d’un autre... »
Ce n’est pas une question de pays, mais de sentiment d’appartenance communautaire. La plupart de ces racailles n’oseraient pas, dans leurs pays d’origine, s’autoriser le dixième de ce qu’elles se permettent dans un pays d’adoption à la face duquel elles pensent affirmer ainsi leur « différence ».
« Pour en revenir au multiculturalisme, je pense être l’exemple de la richesse que ça peut apporter. »
N’exagérons rien. Ma femme est Italienne, et je sais d’expérience que cette richesse tant vantée ressortit bien davantage au domaine de l’anecdotique trivial qu’à celui de l’élévation de l’esprit.