Commentaire de Guit’z
sur « Les faibles et les forts » de Judith Perrignon


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Guit'z Guit’z 20 juin 2014 19:29

Ouhhh, le joli navet bien pensant candidement soupiré que voilà ! L’énorme daube sentimentale écrit dans le langage sucré des bisounours !

Au feu et vivent les arbres saufs !


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