Commentaire de lermontov
sur Un drôle d'oiseau
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Pour vivre heureux, vivons cachés.
La plus grande plaie, c’est la tyrannie du collectif ; c’est la matrice de tous les malheurs. Une société fonctionne toujours ainsi : elle érige un bien en valeur absolue et s’échine à créer un homme moyen qui entre dans ce canon. Elle sacrifie toujours ce qui dépasse et n’entre pas dans la cadre, en bien comme en mal.