Commentaire de gaiaol
sur Regard(s) sur la violence


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

gaiaol (---.---.215.93) 5 avril 2006 19:05

Non pas très clair mais j’ai encore une tête qui me sert un peu (et des amis aussi) . C’est bien toi là et c’est pas la première fois mais pas envie de perdre mon temps à rechercher plus...

par abdallah (IP:xxx.x32.224.166) le 11 février 2006 à 15H30 tout ce que pensent les gens tout bas le pensent tres haut maintenant ....ils deteste l’islam et les musulmans

Mais foin de tout ça : pensez ce que vous voulez et vivez comme vous pouvez.

comme je ne sais pas trop comment raconter l’histoire des barbares de l’immense et impressionnant Coetzee, je vous livre un résumé « googlesque »

" J.M. Coetzee, jouant ici sur la peur de l’autre et de l’inconnu qui mène parfois à la plus grande des cruautés,

Pourtant, la menace gronde. Le pouvoir central cherche à attiser les peurs de la population en lui faisant croire qu’une invasion de « barbares » est imminente. Qui se cache sous ce qualificatif effrayant ? Des tueurs assoiffés de sang ? Des révolutionnaires conspirant contre le régime en place ? Vous n’y êtes pas : le pouvoir central désigne comme étant des « barbares » de simples nomades, qui ne demandent qu’à vivre tranquillement sur des terres qu’ils considèrent comme étant la propriété de tous. Leur seul tort est finalement d’être différents de la population « civilisée » et de vivre selon des traditions séculaires. La démonstration de Coetzee se veut pourtant universelle, chaque société jetant l’opprobre sur ce qu’elle désigne comme étant ses « barbares ». "

Pour finir, je voudrais souligner une chose, je trouve qu’il est vraiment dommage qu’on s’oppose systématiquement et qu’on soit inapte à s’entendre alors que le monde ou nous vivons est tout de même un peu notre « oeuvre » tous autant que nous sommes. Les gouvernants qui prennent en charge le pays et qui ont pour but de nous rendre la vie moins dure ne se préoccupe plus que de leur électorat en flattant les plus bas instintcs à coups de gros clichés. Si on le sait ne peut-on y remédier tous ensemble ? Ou alors je crois que je vais finir par appeler Columbo. Lui va surement nous aider à nous en sortir.


Voir ce commentaire dans son contexte