Petits détails...
 Les « terroristes » d’aujourd’hui en Irak sont les mêmes que les « opposants rebelles », (aussi révolutionnaires que ceux de Maïdan), contre Assad en Syrie.

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Que la France et l’ OTAN ont soutenus +++. Fabius en 2012 : « Le régime syrien mérite d’être abattu, et rapidement, Assad ne mérite pas d’être sur terre ».

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Le Juge antiterroriste Alain Marsaud fait remarquer, que le Califat Islamique en Irak, s’appelait Al Quaïda en Syrie et que la France le soutenait +++ contre Assad...

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Autre petit détail, mais pas tout à fait inutile dans l’ histoire :
Les USA aussi, ont soutenu l’EIIL, le fameux Califat.

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Petite remarque sur le mot « génocide ».
Pendant que ces fous furieux faisaient en Syrie les mêmes horreurs qu’ils font maintenant en Irak, c’était des potes, des mercenaires, soit, mais des alliés vachement utiles, et personne n’a qualifié leurs actions de « génocide ».

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Principe de base du langage Otanien sur le mot « génocide » :
Les alliés de l’ OTAN ne font jamais de « génocides », ni en Ukraine, ni à Gaza, ni en Libye, ni nulle part. Ils défendent la démocratie et la PAIX. Surtout la paix.
Non, les génocides, faut comprendre la nuance, c’est toujours les « ennemis du moment » qui les font.

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Sauf que ceux là, sont des alliés..., comme dit Marsaud, « ça complique les choses ».
Faut surtout pas dire que c’est des potes payés par le Qatar et les Saoudiens pour mettre le chaos au Moyen Orient, pour faire passer leurs putains de gazoducs qatari et saoudiens à travers l’ Irak et la Syrie. Pour que l’ Europe n’achète plus du gaz à la Russie.

Qui s’en fout d’ailleurs, elle vient de signer le contrat gazier du siècle avec la Chine...
Tout ça pour ça.

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Derniers détails :
Des bavures ? Des dégâts collatéraux ? Merdalor, on est désolés, vraiment !
« On savait pas qu’ils avançaient si vite » dit Kouchner. L’andouille de Vire. Pardon pour Vire.

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Les pays occidentaux, les USA surtout, ont des drones, des avions, des « agents spéciaux », des écoutes téléphoniques, des espions, des satellites qui surveillent chaque brin d’herbe de la planète, mais « on ne savait pas qu’ils avançaient », et bien sûr, « on ne savait pas ce qu’ils allaient faire... »

On sait désormais que les fous dirigent l’asile.