Commentaire de L.F.
sur « Pauvres actionnaires » Quarante ans de discours économique du Front National passés au crible, de François Ruffin


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L.F. L.F. 25 août 2014 01:49
« Ainsi, prétendre que le Front national serait un soutien au néolibéralisme, lui qui fut de manière permanente ces trois dernières décénnies le plus farouche opposant, le plus virulent critique du projet de construction, d’intégration supranational européen, projet par essence d’inspiration on ne peut plus néolibérale et démontré comme tel par les évènements historiques, est une supercherie, un non-sens, un mensonge éhonté. »
Jean-Marie Le Pen, dans son programme de 1988 : « Economie. Moins d’impôts, moins de bureaucratie. Pour une adaptation de notre économie à l’échéance européenne de 1992 par une réduction des charges fiscales et sociales (taxe professionnelle notamment) qui pénalisent les entreprises françaises face à leurs concurrentes étrangères et par une remise en cause de l’impôt sur le revenu qui décourage l’activité et l’initiative économique. Comment ? En imposant une cure d’amaigrissement à l’Etat »
Pas besoin d’en dire plus.

Et allez donc vous couper la main (ce qui nous permettra du même coup de ne plus avoir à supporter vos commentaires d’un mépris qui rappelle celui que les eurocrates ont pour le peuple) : je n’ai pas voté pour Hollande en 2012, je me suis abstenu (puisque apparemment vous êtes obsédé par mes votes, c’est fou que je vous fascine à ce point)

Et j’annonce d’ores et déjà que je ne répondrai pas à votre prochain commentaire : je vous laisse avec plaisir le dernier mot, car je vous fais une confiance totale pour qu’il soit tellement absurde qu’il me donne raison.

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