Commentaire de Pepe de Bienvenida (alternatif)
sur Peur et stagnation, le progrès en question
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Ce que Claudec a de commun avec Spartacus, c’est que tous deux ils prennent leur propre mentalité comme modèle pour tous, et projettent sur tous les esprits leur conformisme. Mais c’est encore plus flagrant pour le second, parce qu’il n’imagine chez les autres que la jalousie, fruit de ses propres envies, et qu’il n’arrive pas à imaginer que ce soit justement la domination de ces désirs qui soit un pas en avant pour l’être humain. Ce qui me sidère au contraire, c’est que comme ici certains ne soient pas capables de se poser la question la plus lucide : POUR QUOI FAIRE ?