Commentaire de quid damned
sur Paradoxon Magnus, tempus fugit et Deus ex machina (*)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

quid damned quid damned 7 octobre 2014 15:01

Merci Neymare de faire part de votre point de vue.
Même si votre phrase de départ n’est pas en accord avec l’idée que je me fais du Néant, certains aspects de votre réflexion me parlent.
Notamment la fin sur l’aspect illusoire de la matière et du temps et leur dépendance existentielle vis à vis de la conscience. Elle même (selon l’intuition que j’en ai) issue de la « violente » indécidabilité entre Rien et Pas Rien, qui ne serait pas un cas de conscience mais un indécidable physico-métaphysique éternel et/ou immédiat . Conscience non figée mais non absolument maîtresse d’elle-même. Et dont les illusions matérielles (dont nous faisons partie) en seraient non seulement des réminiscences mais aussi des points de repères pour cette conscience dont chacun perçoit certains aspects.
Nous sommes semble-t-il pleinement d’accord sur un point, je vous cite : "les religions ont anthropomorphisé la conscience, mettant l’homme au centre de tout ça. Mais il n’y a pas de centre, il n’y a pas non plus de temps, la conscience transcende tout ça..."
Bien cordialement.


Voir ce commentaire dans son contexte