Commentaire de lisca
sur Installation en France de 20 000 entreprises chinoises à l'aide d'argent public
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J’ai revu hier un film des années 90.
La vie rêvée des anges.
Les jeunes protagonistes travaillaient dans une usine d’assemblage textile à Lille. rien d’enviable, mais du boulot.
Le patron était étranger. Les ouvrières françaises.
Puis elles se faisaient embaucher dans une boîte de nuit.
Le patron était « français » en théorie, pas vraiment chti en apparence, mais ne fichait rien de la journée ; c’était un héritier, à mentalité non européenne. En europe, ouvrier ou patron, on bosse, on se cultive, on s’active. Lui traînait, c’était sa vie.
Il profitait de cette vie dans laquelle il n’avait pas fait ses preuves ; et éventuellement des filles à son service.
Aujourd’hui, vers Lille, il n’y a plus guère que des étudiants et des chômeurs ou allocataires. Les rares emplois sont restés « de service » ou pénibles, souvent déplacés vers des étrangers importés par le mondialisme, sans l’avis des autochtones, qui n’étaient déjà pas vernis.
Ouvrier européen, patron européen, puis ouvrier étranger, patron étranger, puis aucun patron petit ou moyen, aucun ouvrier protégé, aucune indépendance quelle qu’elle soit, esclaves sans vie ni personnalité ni culture, et employeur collectif sans feu ni lieu, sans foi ni loi.