On met des mots sur des comportements naturels, qui ont été éteints pas le tout consommation.
Alors, ces mots, comme tout mot, en heurtent certains.
Pour ma part, j’insisterai sur l’harmonie, le plaisir que l’on trouve à être le plus proche de la nature, même si cette nature est campagne, c’est-à-dire modelé par l’homme ; après tout l’homme fait partie de la nature.
Voilà, juste du bonheur, de la responsabilité à subvenir à nos besoins, qui n’ont rien d’élémentaires mais sont bien au contraire essentiels.
Retrouver les savoirs ancestraux et se poser la question de savoir pourquoi ceux-ci seraient anéantis en quelques décennies.
Il y a quelque chose de l’amour à retrouver dans tout ça.
Ce que nos ancêtres faisaient, parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement, il nous faut le faire en conscience, volontairement ; c’est un défi à soi-même, c’est un chemin, tout simplement.