Commentaire de bakerstreet
sur Non au terrorisme. À bas le terrorisme d'État !


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bakerstreet bakerstreet 10 janvier 2015 19:35

Rectification, la colère ne m’a pas fait relire ce texte


Il faut lire : Des caricaturistes se moquant d’une pensée bas du front. ....

Je voudrais tout de même pas laissé derrière moi un dernier message ambigu. Je pleure trop les dessinateurs massacrés, ainsi que Bernard Maris, économiste altermondialiste, que j’écoutais depuis des années, pour ne pas m’expliquer davantage. 

L’ambiguité ici c’est vrai n’est pas tolérable. Il est des moments dans l’existence, où la faveur des événements, vous apprenez à qui vous avez affaire et où vous vous trouvez. 

Il est pourtant des moments où comme disait Churchill, jamais le combat entre le bien et le mal ne vous donne autant une possibilité aussi facile pour choisir votre camp. 

Des savantes digressions, et coups de billards à trois coups assez fumeux, pour tenter de mettre en parallèle « les états bourgeois », et ce qui serait un terrorisme d’état, comme le suggère cet article est un véritable escroquerie intellectuelle. 

De la poudre de Perlimpinpin pour les imbéciles

Ce sont les même messages qui ont illustré jadis le terrorisme italien des années 70 débouchant sur la mort d’aldo Moro et de tant d’autres victimes innocentes. 

Les mêmes messages qui ont été le fond de boutique de la bande à Baader....

Dans les banlieues, moins instruites, on donnera un discours simplifié, tournant autour de la fierté et de la religion, mais utilisant la même dynamique : 

L’amalgame, un discours trompeur basé sur un révisionnisme historique manipulé, justification aux pires turpitudes et égarements.
l’instrumentalisation de la victimisation, pour pousser à l’acte, en utilisant une panoplie exacte d’informations tirées des actualités, mais en l’incluant dans un discours trompeur, manipulé. Bref, des sophismes

On remarquera que le resurgissement de la classe ouvrière, un peu oubliée depuis quelque temps ne manque pas de sel, pour pousser à la roue les imbéciles. 
Comme le cheval dans la ferme des animaux. 

Tiens, qu’aurait pensé Orwell de tout ça ?

Je vous laisse tous en bonne compagnie, la votre

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