Commentaire de Luc-Laurent Salvador
sur Génocide rwandais et schéma auto-victimaire


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Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 30 janvier 2015 16:50

« le pervers s’il est bien dans la turpitude, ne s’en prévaut pas : il se sert lui-même »

Là, j’ai des difficultés à vous suivre tellement il me paraît clair que dans de nombreux cas (mais pas forcément dans tous les cas, ni même la majorité des cas, jusqu’à preuve du contraire) le pervers est celui qui martyrise tout en réussissant la prouesse de se faire passer pour la victime et obtenir ainsi encore plus de pouvoir... de faire souffrir sa victime.

Quant au suicidé, c’est sûr le problème de ne pose plus, mais quid du candidat au suicide ? Pas facile de faire la part des choses entre vérité et tentative désespérée de manipulation...


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