Commentaire de Samson
sur Un pape humain pour une Humanité souffrante
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« Çà veut dire que pour sauver son âme tout est permis pour supprimer les « obstacles » !!!
C’est exactement ce que doivent se dire les djihadistes qui décapitent »
A amputer le premier paragraphe pour étayer votre thèse, vous pouvez bien tordre n’importe quel propos pour lui faire dire ce que vous voulez. Si cette « méthodologie » garantit la « bonne parole » et la « bien-pensance » des médias à la botte, il serait néanmoins dommage de vous y abaisser sans même l’excuse d’être payé pour !
Si la lecture du livre de l’Ecclésiaste (« Vanité des vanités, dit Qohélet ; vanité des vanités, tout est vanité. » Eccl. I,2) en donne une idée presqu’aussi réjouissante que l’oeuvre d’Ingmar Bergmann projetée en boucle une nuit d’hiver, les desseins à attribuer à la Providence ou au sens de l’histoire me restent - au moins autant qu’à vous ! - obscurs. J’apprécie la justesse du portrait sans concession et fort peu flatteur de l’homme tel qu’il ressort de l’oeuvre de Machiavel. Il n’empêche que si, pour le meilleur comme pour le pire, l’homme est l’homme, je persiste pour ma part à très naïvement le croire perfectible !
A amputer le premier paragraphe pour étayer votre thèse, vous pouvez bien tordre n’importe quel propos pour lui faire dire ce que vous voulez. Si cette « méthodologie » garantit la « bonne parole » et la « bien-pensance » des médias à la botte, il serait néanmoins dommage de vous y abaisser sans même l’excuse d’être payé pour !

« La papauté a certainement au fil des siècles eu des hommes exceptionnels ; Ça a changé quoi ? »
Si la lecture du livre de l’Ecclésiaste (« Vanité des vanités, dit Qohélet ; vanité des vanités, tout est vanité. » Eccl. I,2) en donne une idée presqu’aussi réjouissante que l’oeuvre d’Ingmar Bergmann projetée en boucle une nuit d’hiver, les desseins à attribuer à la Providence ou au sens de l’histoire me restent - au moins autant qu’à vous ! - obscurs. J’apprécie la justesse du portrait sans concession et fort peu flatteur de l’homme tel qu’il ressort de l’oeuvre de Machiavel. Il n’empêche que si, pour le meilleur comme pour le pire, l’homme est l’homme, je persiste pour ma part à très naïvement le croire perfectible !