Commentaire de Piere Chalory
sur Le dernier souffle (précisions)
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@klendatu2
Merci de votre commentaire pertinent ;
’’Alors, évidemment, si l’on ajoute par dessus tout ça une panne de reconnaissance sociale, une vie affective désastreuse, des chefs et des conditions de travail qui laissent à désirer, les conditions propices à une crise s’en trouvent accélérées.’’
Quand on voit le nombre de suicides assez hallucinant en France, et plus largement dans les pays ’démocratiques civilisés’, chez les jeunes notamment, ont peut m^me s’étonner que finalement les passages à l’acte avec morts ’collatéraux ne soient pas plus nombreux. Quand je pense que dans les années 70 on se plaignait des conditions de travail, de l’avenir incertain ; que dire aujourd’hui ?