Commentaire de bakerstreet
sur Grève à Radio France : l'ultralibéralisme pour les autres, pas pour moi


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bakerstreet bakerstreet 2 avril 2015 17:50

@alinea

Bonjour
Sans doute que le pouvoir est excédé par les bruits de bracelets de or que tout ce beau monde fait cliquer au levant les bras au ciel. Mais le scandale de la maison de la radio est malheureusement le révélateur d’un état à quatre ou cinq vitesses. 
Les fonctionnaires : Certains sont pompiers, d’autres sénateurs. (Néanmoins, remettre en cause le calendrier des pompiers, et cet esprit de corps, plutôt que l’utilité des sénateurs, autre orchestre symphonique.....
Certains comme ici, ont accroché la sixième, et on perdu tous sens des réalités. Une histoire vieille comme le monde : Se sentent non seulement au dessus du vulgaire, mais pour autant détenteur d’une mission sacrée : Informer le populo, enfin...Si peu...
Ne nous trompons pas mon bon sire : Nous n’irons pas développer les causes, comparer l’incomparable, mais juste dresser un diaporama du monde...( ça se dit encore diaporama ?« )
Et toujours se lamenter sur ce marronnier : L’abstention, qui fait le jeu des extrêmes....

Ensuite nous passerons aux invités, qui si vous suivez un peu ce monde des apparences et des lumières, sont exactement les mêmes qui déroulent d’un plateau à l’autre, mêmes bouquins, mêmes films, avec encore là tous les fis de......

On aurait pu c’est vrai inviter des gens des énergies prodigieuses, perdues dans une province ( un mot qu’on ne dit qu’à paris), mais c’est si facile d’inviter des gens sur place, qui viennent avec leur fiche....
Et puis comment ne pas faire plaisir à cette Lea Seydoux, si belle, si indispensable, et puis venant d’une si belle famille.....Très simple, d’ailleurs, ne joue t »elle pas à la bonne, dans ce fameux film, remake d’un Bunuel.

Les remake, d’ailleurs il n’y a plus que ça....C’est facile, on a le patron. 
Et puis la foule n’est pas désorientée, les acteurs non plus. Les journalistes encore moins. 
Un remake, vite, de la révolution française. 
On appellera ça : La valse des perruques.
Vous vivrez la différence, vous ne l’écouterez plus !

 

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