Commentaire de César Castique
sur Loup, une autre vision du prédateur
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Les plus farouches défenseurs du loup sont des citadins, qui n’ont jamais foutu les pieds dans quelque massif montagneux que ce soit, pour cette raison toute simple qu’ils ont déjà des crampes dans les mollets lorsqu’ils parcourent les 150 mètres séparant « leur » boulangerie de « leur » épicerie puis les 90 mètres séparant « leur » épicerie de « leur » pharmacie.