Entièrement d’accord avec vous tous. Musicien dans des groupes pendant quelques années, je connais bien ce genre de fête, même si j’avoue que je n’ai jamais mis les pieds à Bayonne. Sincèrement, j’aurais bien aimé y jouer avec un groupe, où même faire la fête sans y jouer, cette fête a l’air vraiment bien. Surtout que je ne suis pas le dernier à picoler, et que j’adore leur jambon. Je me relèverai la nuit pour en manger.Tout ça pour vous dire que cela fait bien longtemps que je lis plus ce genre de canard (WC ou boiteux, c’est selon), ils font un article intéressant sur l’année, et encore bien souvent c’est loin d’être du scoop. En bref, c’est de la m.... Complètement d’accord avec l’auteur, ils se permettent bien des jugements de valeur et à côté de ça ils sortent un hors série putassier. Alors voilà, maintenant je n’ai plus de groupe, je ne joue plus de basse. c’est surtout par manque de temps. Je joue du ukulélé dans mon coin (vie de famille, vie professionnelle, toussa toussa ). Les inrocks pour moi, c’est comme jouer avec un public de faux-cul, hautain bourge snob et tout ce qui va avec. Si on joue un truc célèbre et bien ringard, que le public reprend avec nous, où est le problème ? L’essentiel est que tout le monde s’amuse ! Bah non, pour les inrocks faut jouer un truc super-élitiste. Genre je vais jouer du Jake Shimabukuro ? Un grand morceau compliqué, et tout le monde va décrocher au bout d’une minute (même moi) ? Déjà faut le faire, techniquement. Tout le monde n’est pas un virtuose. Eh bah non, je préfère reprendre un bon vieux standard, que tout le monde connait, tout le monde chante et hop c’est parti c’est la fête. Eh bah non, pour les inrocks c’est trop populo. les 80’s c’est pas assez bobo. Bande de c.... ! De toute façon, plus personne ne lit cette m... , à part leur copains parisiens peut-être ? Dire que ce genre de canard survit grâce aux subventions de l’état... Plus la niche fiscale des journalistes, etc... Quant au journaliste qui a osé écrire cette m... (M.Mora) : les gens qui aiment cette fête apprécieront d’avoir participé à « un grand rassemblement touristique où règne un mélange de jambon-ville vulgaire, de pittoresque basque reconstitué et d’une culture rugby au rabais ».