Commentaire de Jean-François Dedieu
sur Quand la solidarité internationale aide les pauvres...
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L’administrateur ne se contente plus de faire appliquer la loi, il enchérit de son jugement de valeur. Pas plus tard qu’hier, le sinistre crétin de service au vice-rectorat (avec pas mal d’heures de vol... sauf que le temps ne change rien à l’affaire (Brassens)), chargé de commenter la réunion suite à une énième manif, a surajouté que la réforme « était bonne pour l’enfant »... encore un zélé courtisan qui ne va pas tarder à clamer que l’enseignement moral et civique doit promouvoir la suffisance nationale... Sont-ils des partenaires ou se muent-ils en ennemis du bien public ?