Commentaire de ddacoudre
sur Se réapproprier le libéralisme de la main invisible
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bonjour aline
tu commet des erreur d’appréciation historique.
dans la longue logique des développement des rapport dominant dominé, le
libéralisme a donné le pouvoir a des groupes sociaux qui voulaient leur
part du gâteau , nous les avons qualifié de bourgeois. Par la lutte du
socialisme cette option libéra c’est démocratisé élargissant son champ
en initiant ce que nous avons appelé l’échelle sociale. pour autant le
rapport dominant dominé n’a pas disparu il c’est restructuré donnant
d’autres paradigmes avec lesquels les hommes se sont entre-tuer et
exploités, non parce que c’est le libéralisme qui en est poteur,
puisqu’il a permis aux individus d’exister, mais parce que des malin ont
trouvé la le moyen de duper les hommes, en toute sincérité parfois tel
adam smith qui en plus était croyant et ignorant de nos savoirs.
l’individuation n’emporte pas l’égotisme, nous le sommes naturellement
car ce n’est pas parce que je mangerais à ta place que tu grossiras.
mais je peux utiliser l’énergie que j’ai emmagasiné pour produire afin
de te donner une place au banquet, nous ,e naissons pas comme cela , ou
du moins cet aptitude coopérative au sein des groupes dépend de facteurs
biologiques que nous ne saisissons pas toujours bien et qui sont
facilement influencé par l’environnement que nous développons ainsi le
libéralisme a-t-il permis à des gens qui s’étaient émancipés de penser à
leur époque prendre place au banquet du roi et regardaient les moins
nanti comme des gens naturellement corvéable à merci. et le
développement de l’industrialisation a accéléré ce processus, Jusqu’à
Napoléon , qui avec l’élaboration du code Civil créa l’obligation de
rémunérer les travailleurs qui pouvaient librement louer leur force de
travail naissait ainsi le salaria et nous sommes toujours dans cette
logique.
aujourd’hui du libéralisme nous pouvons attendre mieux que
d’offrir des places de roi (tyrans) à tous les dominants Bêta que
deviennent à un moment les élites.c’est pour cela que ’j’ai écris ceci
en 19999 :
Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.
De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides, mais le reconnaître ne le rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage. Je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.
Cela naturellement nécessite une approche plus éducative de ce que j’ai appelé le « collectivisme fractal », ou entreprendre avec les autres.
cordialement...