Commentaire de Philippe VERGNES
sur Le pouvoir entre paranoïa et perversion*


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Philippe VERGNES 23 octobre 2015 20:17

@ Le Gaïagénaire bonsoir,


Castoriadis... évidemment. Incontournable !

Eugène Enriquez le premier le cite très, très souvent (je crois même qu’il doit être l’une de ses plus importante référence pour ses écrits avec Piera Aulagnier, mais j’ai pas compter). Malheureusement, même si c’est au programme, je n’ai pas encore eu le temps de me plonger dans son oeuvre. A chaque temps suffit sa peine.

Toutefois merci pour ce rappel qui ajoute un argument à une réflexion que j’aimerais développer dans un futur article et qui est celle de cette capacité incroyable de notre société d’écarter toute idée qui pourrait lui nuire en dévoilant ses « travers ». Exactement comme le font les pervers qui combattent les idées, les pensées ou les réflexions qui dévoilent leur livre de recette et les exposent à la lumière.

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