Commentaire de Fergus
sur A qui la faute ?
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Bonsoir, alinea
Cette réponse est complètement bidon. Qui plus est, l’on sait qu’en matière de gouvernance, Bachar, après des débuts quelque peu prometteurs, est assez rapidement revenu vers les pratiques de son père Hafez, un chef d’Etat à qui j’ai eu l’occasion d’écrire à plusieurs reprises dans le cadre de mon engagement à Amnesty pour tenter d’obtenir des grâces de prisonniers politiques.
J’ajoute à cela qu’il est amusant, dans un pays où l’on accuse Hollande et Taubira de faire pression sur les magistrats, de croire que El-Assad puisse permettre à la justice syrienne d’exercer son rôle sans que le pouvoir ne lui impose ses orientations et bien évidemment ses décisions sur les cas sensibles.