Commentaire de Mélanie Talcott
sur Goodbye Gandhi
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@Alren
En l’occurrence, Alren, ce sont deux Occidentaux qui parlent et non des Indiens (et ce livre est en partie basé sur des faits réels) et croyez-moi, j’ai entendu pire...
Un exemple (soft !) ? Un jour, dans un magasin (à Pondichéry), une bourgeoise expatriée de longue date m’a priée de bien vouloir « laisser mon singe » (un ami Indien) à la porte dudit établissement.