Depuis bien longtemps je ne m’intéresse plus qu’à l’aspect « humain » du complotisme...donc au complotiste lui-même : 

- Quels sont les ressorts psychologiques, politiques, religieux, voire psychiatriques qui rentrent en jeu pour développer ou accepter de croire à des scénarii complotistes ne s’appuyant véritablement sur aucune preuve et proposant des solutions mille fois plus irréalistes que les versions officielles remises en cause ??? 

- Quelles sont les luttes intestines au sein des différents mouvements, les rapports de force, les organes officieux en mouvement dans la sphère complotiste ???

Ces questions sont beaucoup plus intéressantes, vous en conviendrez, que de vouloir perpétuellement rejouer le match perdu par reopen.