Commentaire de Jean-Michel Lemonnier
sur Emmanuel Levinas, le philosophe de l'éthique et du caractère sacré de la vie
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@Zardogien dés-Aline-isé
Vous avez raison, il faut réduire au maximum dans une optique didactique de débenêtisation, un peu comme en numérologie pour arriver au chiffre symbole.
Bo-beauf, nihiliste négatif (de nihilisme positif, il en est incapable), avec son verbe-iage auto-référentiel derridien épuisé vitalement et sa pratique du jeu de mots, véritables maux (oui !) de l’hypermodermité, est persuadé qu’une fois liquidées nations, religions, traditions, la (sa) paix mondiale adviendra. Comme si le global state de l’indifférenciation généralisée était porteur, en lui-même, d’un projet émancipateur et pacificateur.
Le narcissisme (secondaire) est une véritable plaie, peut-être la principale, pour la survie des peuples en terre de radicalité européenne-eurasiatique.
L’observation et la compréhension des traditions mènent à la Tradition primordiale donc à l’authentique communauté de l’être en mesure de changer le statut ontologique du monde (du nôtre) par la réconciliation du mythos (fortement méprisé en « zones dissidentes », là est la grande impasse conceptuelle) et du logos.