Commentaire de Thierry SALADIN
sur VGE, splendeur de l'excellence française


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Thierry SALADIN Thierry SALADIN 3 février 2016 09:35

@ l’auteur,

Votre portrait de VGE me semble un peu trop flatteur. 
Pour avoir été giscardien à l’époque et même avoir souhaité sa réélection en 1981— moi, aussi j’ai été jeune — je dois avouer que mon regard a singulièrement évolué depuis.
Outre ce qui a été rappelé par certains ici, je préciserai qu’il s’est bien gardé de prendre des mesures courageuses comme l’abolition de la peine de mort. 
Je me souviens aussi que lorsqu’on lui avait posé la question sur les radios libres qu’ils n’avaient pas autorisées, il avait eu le culot de répondre que « les Français n’y étaient pas favorables », ou quelque chose d’approchant.
Qui ne se souvient pas de l’explosion du phénomène dès le 10 mai 1981 au soir... ?

Je pense que l’histoire sera assez nuancée sur Giscard, comme sur Mitterrand. Et sévère sur Chirac, hormis sa politique étrangère bien sûr. 
Quant aux deux suivants.... et sans doute du prochain... Est-il nécessaire d’en parler ici ?

Cordialement.

Thierry Saladin

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