Commentaire de Hervé Hum
sur Faciliter les réformes, la paix sociale et les libertés individuelles par un principe de coopération (Partie 1)
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Je laisse à l’auteur une chance de faire mentir la seconde partie de son article, car il arrête sa logique bien trop tôt.
La coopération n’est pas la concurrence, donc le capitalisme et les deux ne sont pas compatible en même temps, c’est à dire, que l’un obéit à l’autre... Forcément.
Pour vous donner un exemple, c’’est comme vouloir faire deux parties d’échecs sur le même plateau et en même temps. Ca marche pas !
Vous devez choisir lequel prime sur l’autre et donc, le faire accepter à ceux qui se nourrissent de l’esprit de concurrence.
La coopération comme principe directeur, c’est la socialisation des moyens de productions et de son financement.
Le système capitaliste fonctionne sur le principe de l’exploitation, du rapport de dominant à soumis, pas de la coopération. Pour lui, la violence est son régime normal, c’est la paix son pire ennemi, parce qu’alors, apparaît l’esprit de coopération.
Comment comptez vous faire pour que les possédants d’aujourd’hui renoncent à leurs possessions ?