Commentaire de JMO
sur Crise de la cosmologie


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JMO 10 février 2016 09:38

Je ne sais pas si cette critique m’est adressée, mais je dois répondre car la critique de la théorie du big bang et du Lambda-CDM est difficile, se heurtant à un tabou.
Voici donc le problème :
G. Burbidge et Karlsson ont étudié quasars et montré que les rougissements Z (variations relatives de fréquence) des spectres des éléments lourds sont , pour la plupart très voisins de Z(n)=nK, où K est la constante de Karlsson 0.061. Ces auteurs ont essayé d’étudier les spectres des quasars, avec peu de succès car ils ne sont pas parvenus à expliquer des rougissements élevés. La solution vient du fait que l’entier n ne prend que les valeurs d’une série 3, 4, 6, ... un peu étonnante . Il vaut mieux écrire la loi équivalente Z(p,q)= p(3K)+q(4K), où pet q sont des entiers non négatifs. On remarque alors que les rougissements remarquables 3K et 4K amènent les fréquences Lyman beta et gamma de l’atome H en Lyman alpha, ce qui introduit l’atome H dans le rougissement : la lumière des quasars est rougie en traversant de l’hydrogène atomique « froid » (entre 3000 et 50000K), non excité s’il y a de l’énergie qui pompe des atomes de l’état fondamental 1S à l’état excité 2P. Les atomes 2P rougissent ainsi la lumière par une interaction formée de plusieurs effets Raman impulsionnels stimulés, interaction qui cesse si une raie absorbée empêche le pompage. On obtient ainsi une première famille de raies fines. Une seconde famille résulte de l’excitation de l’hydrogène qui augmente le coefficient B d’Einstein à la fréquence alpha jusqu’à ce que un flash de-excite brutalement le gaz et absorbe par une compétition de modes le rayon observé où il a la fréquence alpha. On obtient par des oscillations de relaxation, des raies à peu près équidistantes en fréquence. Les flash sont observés de la Terre sous la forme de flamboiements (flares en anglais). Cette interprétation des spectres des quasars présente de nombreux avantages : elle n’utilise qu’une spectroscopie étudiée (à plus petite échelle !) dans les laboratoires. Réduisant les distances déduites de la loi de Hubble près des astres chauds, elle réduit le rayon des galaxies spirales qui n’ont plus besoin de matière noire. Comme la réfraction, les rougissements ont une dispersion chromatique, pas de variation de la constante de structure fine. L’accroissement des distances de Hubble près des astres chauds forme des bulles dans les cartes des galaxies, etc.
La spectroscopie cohérente est plus efficace que le big bang !

Pourquoi refuser d’en discuter ? De la discussion jaillit la lumière car nul n’est infaillible.


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