Et dire ce bonhomme cumule les casseroles digne d’un grand chef de cuisine a encore le culot de joué les yeux de biche à lors que la seule obsession que l’on peut gardé de lui est qu’il se bichonne son ego à longueur de temps. Ceux qui aiment le fric facile son à la bonne école avec cet énergumène :

« Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami ! On m’a privé de toi ; et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m’est impossible de vivre. » (L’Avare Harpagon, acte IV, scène VII)